Un grand quotidien américain cite un site ABDL
Une publicité à double-tranchant...
Le journal américain « Huffington Post », lu quotidiennement par des millions de gens, a fait parler de lui au mois d'août aux Etats-Unis en faisant une publicité involontaire pour l'un des sites ABDL américains les plus populaires.
Un journaliste a publié à l'origine un article à propos d'une lettre envoyée aux parents d'élèves d'une école, les informant que les enfants ayant eu de mauvaises notes auraient le choix entre plusieurs établissements déclassés pour poursuivre leurs études. La polémique a démarré avec un passage en particulier indiquant que, conformément à une décision de justice, s'ils étaient noirs ils auraient un plus grand choix d'écoles que s'ils étaient blancs.
Il aurait pu seulement s'agir d'un énième article sur le racisme dans un pays où c'est un sujet très sensible, mais l'auteur a cru bon d'ajouter une citation et un lien vers un sujet du forum du site ADISC qui soulignait l'injustice de cette lettre. D'autres sites journalistiques ont alors rapidement rebondit sur le fait que le lien menait à un site dédié aux fétichistes des couches, en ajoutant la plupart du temps des remarques très négatives à leur sujet.
Le HuffPost a alors réagi rapidement en retirant ces éléments de l'article en expliquant que « le lien et la citation […] avaient été retirés car provenant d'un forum inapproprié pour le grand public » , mais l'impact de tous ces rebondissements n'a pas été anodin pour le journal et il en va sans doute de même pour le site ADISC dont la popularité a dû monter en flèche.
Ce que personne ne semble avoir souligné, c'est qu'il est nécessaire de s'inscrire sur ADISC pour accéder au sujet en question et donc que le journaliste n'est peut-être pas arrivé là par hasard...
Un journaliste a publié à l'origine un article à propos d'une lettre envoyée aux parents d'élèves d'une école, les informant que les enfants ayant eu de mauvaises notes auraient le choix entre plusieurs établissements déclassés pour poursuivre leurs études. La polémique a démarré avec un passage en particulier indiquant que, conformément à une décision de justice, s'ils étaient noirs ils auraient un plus grand choix d'écoles que s'ils étaient blancs.
Il aurait pu seulement s'agir d'un énième article sur le racisme dans un pays où c'est un sujet très sensible, mais l'auteur a cru bon d'ajouter une citation et un lien vers un sujet du forum du site ADISC qui soulignait l'injustice de cette lettre. D'autres sites journalistiques ont alors rapidement rebondit sur le fait que le lien menait à un site dédié aux fétichistes des couches, en ajoutant la plupart du temps des remarques très négatives à leur sujet.
Le HuffPost a alors réagi rapidement en retirant ces éléments de l'article en expliquant que « le lien et la citation […] avaient été retirés car provenant d'un forum inapproprié pour le grand public » , mais l'impact de tous ces rebondissements n'a pas été anodin pour le journal et il en va sans doute de même pour le site ADISC dont la popularité a dû monter en flèche.
Ce que personne ne semble avoir souligné, c'est qu'il est nécessaire de s'inscrire sur ADISC pour accéder au sujet en question et donc que le journaliste n'est peut-être pas arrivé là par hasard...
Commentaires
il y a 11 ans
selon personne mais ca on les emmerdes tous..
il y a 11 ans
Drôle anecdote! Je trouve très rigolo
il y a 11 ans
Pour étudier en communication, rien d'étonnant. Plusieurs options sont présents : Une équipe de recherchistes, sa c'est relativement épeurant voir leur champ d'action. Le journaliste a fait des recherches plus poussé et voulant pousser le «ridicule» de son article, a trouvé drôle de citer un site parlant de ce fétishe. Il ne faut pas oublié que pour certains il s'agit également d'une forme de régression.
Moi je trouve cela plutôt une chance de parler du fétishe et de rappeller l'importance du fait qu'il n'est pas relié à la pédophilie!
Moi je trouve cela plutôt une chance de parler du fétishe et de rappeller l'importance du fait qu'il n'est pas relié à la pédophilie!
il y a 11 ans
Ça se peut qu'il ait googler ça il a du s'inscrire et bam...
il y a 11 ans
Very funny indeed!
petite précision toutefois : contrairement à ce qui est expliqué ici, le problème initial à Rayville school ne concernait pas les enfants ayant des mauvaises notes. C'est l'école elle-même qui a reçu une mauvaise note pour le niveau de l'éducation qu'elle dispense. Ayant reçu cette mauvaise note, elle se devait d'en informer ses élèves qui ont en conséquence le droit d'opter pour une école plus éloignée ayant une meilleure note académique.
Dans cet état, cependant, une disposition légale héritée de l'époque de la lutte contre la ségrégation interdit aux élèves BLANCS de quitter une école sur la base de ses mauvais résultats, si cela doit conduire à laisser derrière une école avec seulement des élèves NOIRS.
Plus très pertinente aujourd'hui, cette disposition!
et en tout cas, aucune relation avec notre monde ABDL, si ce n'est le post hors sujet de ADISC.
petite précision toutefois : contrairement à ce qui est expliqué ici, le problème initial à Rayville school ne concernait pas les enfants ayant des mauvaises notes. C'est l'école elle-même qui a reçu une mauvaise note pour le niveau de l'éducation qu'elle dispense. Ayant reçu cette mauvaise note, elle se devait d'en informer ses élèves qui ont en conséquence le droit d'opter pour une école plus éloignée ayant une meilleure note académique.
Dans cet état, cependant, une disposition légale héritée de l'époque de la lutte contre la ségrégation interdit aux élèves BLANCS de quitter une école sur la base de ses mauvais résultats, si cela doit conduire à laisser derrière une école avec seulement des élèves NOIRS.
Plus très pertinente aujourd'hui, cette disposition!
et en tout cas, aucune relation avec notre monde ABDL, si ce n'est le post hors sujet de ADISC.
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JordQC
Pathetic.