Des couches pour remotiver le personnel ?
Les techniques d'amélioration du marketing aux Etats-Unis n'ont pas fini de nous étonner. L'histoire se passe en Californie, elle n'a été relatée dans le journal américain Watertown Daily News que récemment même si elle date de 2006. Des dizaines d'employés, femmes et hommes, garderont sans doute un souvenir mémorable de cette expérience. Ce genre de chose venant rarement seul, on peut se demander qui dans la société a eu cette idée plutôt saugrenue et a surtout réussi ensuite à l'imposer à tout le monde...
« Janet Orlando, une femme de 53 ans, a démissionné de son travail dans la société Alarm One, fabriquant d'alarmes pour les maisons individuelles, et porté plainte pour discrimination, agression et souffrance due à une angoisse émotionnelle. Elle dit avoir reçu une fessée devant ses collègues de travail. Son employeur a précisé qu'il s'agissait d'un exercice visant à renforcer l'esprit d'équipe. Ses avocats réclament au tribunal au moins 1,2 millions de dollars pour l'humiliation dont elle a été victime.
Selon les documents du tribunal, les employés de la société ont reçu une fessée donnée avec les panneaux publicitaires des sociétés concurrentes afin de marquer la baisse des ventes dans certaines équipes commerciales par rapport aux autres équipes. Les équipes vainqueurs se sont moquées des perdants, en leur jetant des tartes à la crème, en les nourrissant avec des petits pots pour bébé, et en leur faisant porter des couches et sucer leur pouce.
« Aucune femme d'un âge raisonnable n'accepterait d'être renversée et exposée par un groupe de jeunes hommes de façon à montrer ses fesses, de recevoir une fessée et d'être appelée par des noms grossiers, le tout sous prétexte qu'il s'agit de faire augmenter les ventes et de motiver les employés. » a indiqué son avocat, Nicholas Butch Wagner.
Les avocats de la société Alarm One, basée à Anaheim en Californie et qui compte 300 employés, ont déclaré que les fessées faisaient partie d'un programme à participation volontaire destiné à renforcer la camaraderie, et que ce n'était pas discriminatoire car ces traitements étaient donnés tout aussi bien à des employés masculins que féminins. « Cela a été fait pour une seule et unique raison : l'argent » a indiqué K. Poncho Baker, l'avocat de la société. Les documents du tribunal indique que les dirigeants de la société Alarm One ont cessé ces pratiques en 2004, l'année où ils ont été poursuivis et après qu'une employée se soit plainte d'avoir été blessée. »
Source : http://www.corpun.com/usi00604.htm
« Janet Orlando, une femme de 53 ans, a démissionné de son travail dans la société Alarm One, fabriquant d'alarmes pour les maisons individuelles, et porté plainte pour discrimination, agression et souffrance due à une angoisse émotionnelle. Elle dit avoir reçu une fessée devant ses collègues de travail. Son employeur a précisé qu'il s'agissait d'un exercice visant à renforcer l'esprit d'équipe. Ses avocats réclament au tribunal au moins 1,2 millions de dollars pour l'humiliation dont elle a été victime.
Selon les documents du tribunal, les employés de la société ont reçu une fessée donnée avec les panneaux publicitaires des sociétés concurrentes afin de marquer la baisse des ventes dans certaines équipes commerciales par rapport aux autres équipes. Les équipes vainqueurs se sont moquées des perdants, en leur jetant des tartes à la crème, en les nourrissant avec des petits pots pour bébé, et en leur faisant porter des couches et sucer leur pouce.
« Aucune femme d'un âge raisonnable n'accepterait d'être renversée et exposée par un groupe de jeunes hommes de façon à montrer ses fesses, de recevoir une fessée et d'être appelée par des noms grossiers, le tout sous prétexte qu'il s'agit de faire augmenter les ventes et de motiver les employés. » a indiqué son avocat, Nicholas Butch Wagner.
Les avocats de la société Alarm One, basée à Anaheim en Californie et qui compte 300 employés, ont déclaré que les fessées faisaient partie d'un programme à participation volontaire destiné à renforcer la camaraderie, et que ce n'était pas discriminatoire car ces traitements étaient donnés tout aussi bien à des employés masculins que féminins. « Cela a été fait pour une seule et unique raison : l'argent » a indiqué K. Poncho Baker, l'avocat de la société. Les documents du tribunal indique que les dirigeants de la société Alarm One ont cessé ces pratiques en 2004, l'année où ils ont été poursuivis et après qu'une employée se soit plainte d'avoir été blessée. »
Source : http://www.corpun.com/usi00604.htm
Commentaires
il y a 15 ans
et bien franchement moi j'aurais aimer avoir un employeur comme ça, qui me mette des féssé pour motivé porté des couches des notre prise de travail
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