Qui sommes-nous vraiment ?
Depuis quelques mois maintenant, je visite assez attentivement les sites à partir desquels des visiteurs arrivent sur ABKingdom, en ayant typiquement suivi un lien donné dans un forum.
Je ne donnerai pas ici le détail de la liste de ces sites pour plusieurs raisons. Mais il est toutefois notable que la grande majorité des commentaires qui accompagnent la publication de l'adresse du site web d'ABKingdom est incroyablement négative à l'égard de notre communauté.
Nous savons tous que notre passion pour les couches est particulièrement difficile à faire comprendre et admettre aux autres. Devant l'augmentation constante du nombre de visiteurs et les opinions trouvées de plus en plus fréquemment sur d'autres sites à propos d'ABKingdom et du même coup des ABDL en général, je pense qu'il devient aujourd'hui important et urgent de rédiger un vrai texte d'introduction expliquant de façon intelligente et simple à ceux qui n'ont jamais entendu parler de ce genre de fétichisme, ce que nous sommes vraiment et ce qui nous motive.
Il existe déjà des textes d'introduction sur ABKingdom accessible depuis la page d'accueil dans les questions fréquentes, mais il convient d'avantage à ceux qui ont envie d'en savoir plus sur notre communauté, et qui ont déjà dépassé le cap du rejet pur et simple de ce que d'autres pensent être un regroupement minoritaire et inquiétant de personnes ayant de graves troubles psychologiques. Je n’exagère hélas pas du tout.
Le débat est ouvert, je pense que nous avons tous notre mot à dire et chaque idée sera la bienvenue.
Je ne donnerai pas ici le détail de la liste de ces sites pour plusieurs raisons. Mais il est toutefois notable que la grande majorité des commentaires qui accompagnent la publication de l'adresse du site web d'ABKingdom est incroyablement négative à l'égard de notre communauté.
Nous savons tous que notre passion pour les couches est particulièrement difficile à faire comprendre et admettre aux autres. Devant l'augmentation constante du nombre de visiteurs et les opinions trouvées de plus en plus fréquemment sur d'autres sites à propos d'ABKingdom et du même coup des ABDL en général, je pense qu'il devient aujourd'hui important et urgent de rédiger un vrai texte d'introduction expliquant de façon intelligente et simple à ceux qui n'ont jamais entendu parler de ce genre de fétichisme, ce que nous sommes vraiment et ce qui nous motive.
Il existe déjà des textes d'introduction sur ABKingdom accessible depuis la page d'accueil dans les questions fréquentes, mais il convient d'avantage à ceux qui ont envie d'en savoir plus sur notre communauté, et qui ont déjà dépassé le cap du rejet pur et simple de ce que d'autres pensent être un regroupement minoritaire et inquiétant de personnes ayant de graves troubles psychologiques. Je n’exagère hélas pas du tout.
Le débat est ouvert, je pense que nous avons tous notre mot à dire et chaque idée sera la bienvenue.
Commentaires
il y a 19 ans
Bonjour,
Pour presque tout le monde, les changements de couches ont constitué de doux moments. Pourtant seul un très faible pourcentage de la population devient DL...
Ce ne sont donc pas ces moments qui en eux-mêmes peuvent en constituer « la cause».
Alors, ce serait une certaine NOSTALGIE? J’en doute.
Qui a de réels souvenirs de ce qui s’est passé avant ses 3 ans?
Qui se souvient vraiment d’avoir été changé?
De plus, la plupart des DL nous disent avoir été entraînés à la propreté très tôt (avant 2 ans)!
Non, je pense que la passion des couches constitue simplement une réponse, parmi tant d’autres, à une blessure résultant de la séparation d’avec la mère. Cette blessure est très commune, la réponse des AB/DL l’est moins. C'est tout.
La démarche psychologique de séparation d’avec la mère est d’ailleurs plus complexe pour le petit garçon que pour la petite fille. C’est probablement ce qui explique le plus grand nombre de AB/DL mâles. D’ailleurs, pour la même raison, plusieurs autres «phénomènes» touchent les garçons en plus grand nombre.
Il faut comprendre que lorsque la petite fille arrive à l'âge de la séparation d'avec sa mère (à partir de 2 ou 3 ans), son développement sexuel normal (l’oedipe) la pousse à se rapprocher de son père (jusqu’à 5 ou 6 ans). Simple, logique, cohérent.
Pour le petit garçon, les choses sont plus compliquées. Il doit se séparer de sa mère mais zut... c’est aussi vers elle que le pousse son oedipe.
Est-ce que je dois me séparer de maman? Est-ce que je dois m’en rapprocher? Comment faire? Que dois-je faire? Qu’est-ce que vous voulez de moi?
Anxiété. Sentiment de ne pas être adéquat. Sentiment de solitude. Sentiment d'abandon.
Au même moment, le petit garçon reçoit des messages du genre « un grand garçon ne fait pas dans sa culotte, un grand garçon ne fait pas dans son lit ». Il sent une forte pression à «grandir» et à effectuer la séparation. Mais il n'a pas toujours en main les clés pour résoudre son dilemme... La grande question n'est donc pas "to be or not to be" mais «me séparer ou ne pas me séparer», ce qui revient au même. Je peux avoir une identité propre, ce qui est assez angoissant, ou je peux rester en fusion avec ma mère, ce qui est plutôt sécurisant.
La séparation des couches se fait au même moment que la séparation d'avec la mère et les deux démarches sont intimement liées... Et également angoissante.
Je vous laisse continuer le raisonnement...
J’ai connu très intimement deux infantilistes. Dans les deux cas, un incident est survenu vers 7 ans. La vue d'un autre enfant qui recevait une attention particulière lors d'un changement de couche a provoqué un important sentiment d’ENVIE chez les deux.
La couche est devenue, dans leur subconscient, un objet symbolique les ramenant au sentiment de fusion avec la mère, de sécurité et d'acceptation totale.
Subtilité:
Les circonstances particulières dans lesquelles s'est déroulé l'incident pour chacun d'eux a eu des conséquences très importantes. Pour l'un, l'univers des couches comporte son lot de honte et de frustration alors que l'autre n'y trouve que plaisir et contentement.
L’attirance pour les couches (avec toute la gamme de sentiments qu’elles peuvent procurer) est imprégnée de façon indélébile dans le subconscient des AB/DL. C’est comme une empreinte dans le ciment. Alors, à quoi bon faire de longue recherche sur la « cause »? Vous essayez de faire un diagnostique? Votre objectif est de « guérir »? Oubliez ça, c’est utopique!
Concentrez vos efforts sur « vivre avec les couches le mieux possible ». L’objectif est de développer des stratégies pour que la passion des couches interfère le moins possible avec ce qu’on pourrait appeler une vie « normale » et des relations « normales ». En précisant bien sûr que la normalité est un concept très discutable!
Et cessez de rechercher l'acceptation à tout prix.
Comme si notre paix intérieure pouvait venir des autres!
L'important n'est pas que les autres nous acceptent mais que nous-mêmes puissions vivre en paix avec ce que nous sommes. Ça pourrait empêcher bien des dérives.
Ce qu'il y a à comprendre d'essentiel dans l'univers des couches, c'est que c'est HUMAIN.
aditou :wink:
Pour presque tout le monde, les changements de couches ont constitué de doux moments. Pourtant seul un très faible pourcentage de la population devient DL...
Ce ne sont donc pas ces moments qui en eux-mêmes peuvent en constituer « la cause».
Alors, ce serait une certaine NOSTALGIE? J’en doute.
Qui a de réels souvenirs de ce qui s’est passé avant ses 3 ans?
Qui se souvient vraiment d’avoir été changé?
De plus, la plupart des DL nous disent avoir été entraînés à la propreté très tôt (avant 2 ans)!
Non, je pense que la passion des couches constitue simplement une réponse, parmi tant d’autres, à une blessure résultant de la séparation d’avec la mère. Cette blessure est très commune, la réponse des AB/DL l’est moins. C'est tout.
La démarche psychologique de séparation d’avec la mère est d’ailleurs plus complexe pour le petit garçon que pour la petite fille. C’est probablement ce qui explique le plus grand nombre de AB/DL mâles. D’ailleurs, pour la même raison, plusieurs autres «phénomènes» touchent les garçons en plus grand nombre.
Il faut comprendre que lorsque la petite fille arrive à l'âge de la séparation d'avec sa mère (à partir de 2 ou 3 ans), son développement sexuel normal (l’oedipe) la pousse à se rapprocher de son père (jusqu’à 5 ou 6 ans). Simple, logique, cohérent.
Pour le petit garçon, les choses sont plus compliquées. Il doit se séparer de sa mère mais zut... c’est aussi vers elle que le pousse son oedipe.
Est-ce que je dois me séparer de maman? Est-ce que je dois m’en rapprocher? Comment faire? Que dois-je faire? Qu’est-ce que vous voulez de moi?
Anxiété. Sentiment de ne pas être adéquat. Sentiment de solitude. Sentiment d'abandon.
Au même moment, le petit garçon reçoit des messages du genre « un grand garçon ne fait pas dans sa culotte, un grand garçon ne fait pas dans son lit ». Il sent une forte pression à «grandir» et à effectuer la séparation. Mais il n'a pas toujours en main les clés pour résoudre son dilemme... La grande question n'est donc pas "to be or not to be" mais «me séparer ou ne pas me séparer», ce qui revient au même. Je peux avoir une identité propre, ce qui est assez angoissant, ou je peux rester en fusion avec ma mère, ce qui est plutôt sécurisant.
La séparation des couches se fait au même moment que la séparation d'avec la mère et les deux démarches sont intimement liées... Et également angoissante.
Je vous laisse continuer le raisonnement...
J’ai connu très intimement deux infantilistes. Dans les deux cas, un incident est survenu vers 7 ans. La vue d'un autre enfant qui recevait une attention particulière lors d'un changement de couche a provoqué un important sentiment d’ENVIE chez les deux.
La couche est devenue, dans leur subconscient, un objet symbolique les ramenant au sentiment de fusion avec la mère, de sécurité et d'acceptation totale.
Subtilité:
Les circonstances particulières dans lesquelles s'est déroulé l'incident pour chacun d'eux a eu des conséquences très importantes. Pour l'un, l'univers des couches comporte son lot de honte et de frustration alors que l'autre n'y trouve que plaisir et contentement.
L’attirance pour les couches (avec toute la gamme de sentiments qu’elles peuvent procurer) est imprégnée de façon indélébile dans le subconscient des AB/DL. C’est comme une empreinte dans le ciment. Alors, à quoi bon faire de longue recherche sur la « cause »? Vous essayez de faire un diagnostique? Votre objectif est de « guérir »? Oubliez ça, c’est utopique!
Concentrez vos efforts sur « vivre avec les couches le mieux possible ». L’objectif est de développer des stratégies pour que la passion des couches interfère le moins possible avec ce qu’on pourrait appeler une vie « normale » et des relations « normales ». En précisant bien sûr que la normalité est un concept très discutable!
Et cessez de rechercher l'acceptation à tout prix.
Comme si notre paix intérieure pouvait venir des autres!
L'important n'est pas que les autres nous acceptent mais que nous-mêmes puissions vivre en paix avec ce que nous sommes. Ça pourrait empêcher bien des dérives.
Ce qu'il y a à comprendre d'essentiel dans l'univers des couches, c'est que c'est HUMAIN.
aditou :wink:
il y a 19 ans
Bonjour,
Pour presque tout le monde, les changements de couches ont constitué de doux moments. Pourtant seul un très faible pourcentage de la population devient DL...
Ce ne sont donc pas ces moments qui en eux-mêmes peuvent en constituer « la cause».
Alors, ce serait une certaine NOSTALGIE? J’en doute.
Qui a de réels souvenirs de ce qui s’est passé avant ses 3 ans?
Qui se souvient vraiment d’avoir été changé?
De plus, la plupart des DL nous disent avoir été entraînés à la propreté très tôt (avant 2 ans)!
Non, je pense que la passion des couches constitue simplement une réponse, parmi tant d’autres, à une blessure résultant de la séparation d’avec la mère. Cette blessure est très commune, la réponse des AB/DL l’est moins. C'est tout.
La démarche psychologique de séparation d’avec la mère est d’ailleurs plus complexe pour le petit garçon que pour la petite fille. C’est probablement ce qui explique le plus grand nombre de AB/DL mâles. D’ailleurs, pour la même raison, plusieurs autres «phénomènes» touchent les garçons en plus grand nombre.
Il faut comprendre que lorsque la petite fille arrive à l'âge de la séparation d'avec sa mère (à partir de 2 ou 3 ans), son développement sexuel normal (l’oedipe) la pousse à se rapprocher de son père (jusqu’à 5 ou 6 ans). Simple, logique, cohérent.
Pour le petit garçon, les choses sont plus compliquées. Il doit se séparer de sa mère mais zut... c’est aussi vers elle que le pousse son oedipe.
Est-ce que je dois me séparer de maman? Est-ce que je dois m’en rapprocher? Comment faire? Que dois-je faire? Qu’est-ce que vous voulez de moi?
Anxiété. Sentiment de ne pas être adéquat. Sentiment de solitude. Sentiment d'abandon.
Au même moment, le petit garçon reçoit des messages du genre « un grand garçon ne fait pas dans sa culotte, un grand garçon ne fait pas dans son lit ». Il sent une forte pression à «grandir» et à effectuer la séparation. Mais il n'a pas toujours en main les clés pour résoudre son dilemme... La grande question n'est donc pas "to be or not to be" mais «me séparer ou ne pas me séparer», ce qui revient au même. Je peux avoir une identité propre, ce qui est assez angoissant, ou je peux rester en fusion avec ma mère, ce qui est plutôt sécurisant.
La séparation des couches se fait au même moment que la séparation d'avec la mère et les deux démarches sont intimement liées... Et également angoissante.
Je vous laisse continuer le raisonnement...
J’ai connu très intimement deux infantilistes. Dans les deux cas, un incident est survenu vers 7 ans. La vue d'un autre enfant qui recevait une attention particulière lors d'un changement de couche a provoqué un important sentiment d’ENVIE chez les deux.
La couche est devenue, dans leur subconscient, un objet symbolique les ramenant au sentiment de fusion avec la mère, de sécurité et d'acceptation totale.
Subtilité:
Les circonstances particulières dans lesquelles s'est déroulé l'incident pour chacun d'eux a eu des conséquences très importantes. Pour l'un, l'univers des couches comporte son lot de honte et de frustration alors que l'autre n'y trouve que plaisir et contentement.
L’attirance pour les couches (avec toute la gamme de sentiments qu’elles peuvent procurer) est imprégnée de façon indélébile dans le subconscient des AB/DL. C’est comme une empreinte dans le ciment. Alors, à quoi bon faire de longue recherche sur la « cause »? Vous essayez de faire un diagnostique? Votre objectif est de « guérir »? Oubliez ça, c’est utopique!
Concentrez vos efforts sur « vivre avec les couches le mieux possible ». L’objectif est de développer des stratégies pour que la passion des couches interfère le moins possible avec ce qu’on pourrait appeler une vie « normale » et des relations « normales ». En précisant bien sûr que la normalité est un concept très discutable!
Et cessez de rechercher l'acceptation à tout prix.
Comme si notre paix intérieure pouvait venir des autres!
L'important n'est pas que les autres nous acceptent mais que nous-mêmes puissions vivre en paix avec ce que nous sommes. Ça pourrait empêcher bien des dérives.
Ce qu'il y a à comprendre d'essentiel dans l'univers des couches, c'est que c'est HUMAIN.
aditou :wink:
Pour presque tout le monde, les changements de couches ont constitué de doux moments. Pourtant seul un très faible pourcentage de la population devient DL...
Ce ne sont donc pas ces moments qui en eux-mêmes peuvent en constituer « la cause».
Alors, ce serait une certaine NOSTALGIE? J’en doute.
Qui a de réels souvenirs de ce qui s’est passé avant ses 3 ans?
Qui se souvient vraiment d’avoir été changé?
De plus, la plupart des DL nous disent avoir été entraînés à la propreté très tôt (avant 2 ans)!
Non, je pense que la passion des couches constitue simplement une réponse, parmi tant d’autres, à une blessure résultant de la séparation d’avec la mère. Cette blessure est très commune, la réponse des AB/DL l’est moins. C'est tout.
La démarche psychologique de séparation d’avec la mère est d’ailleurs plus complexe pour le petit garçon que pour la petite fille. C’est probablement ce qui explique le plus grand nombre de AB/DL mâles. D’ailleurs, pour la même raison, plusieurs autres «phénomènes» touchent les garçons en plus grand nombre.
Il faut comprendre que lorsque la petite fille arrive à l'âge de la séparation d'avec sa mère (à partir de 2 ou 3 ans), son développement sexuel normal (l’oedipe) la pousse à se rapprocher de son père (jusqu’à 5 ou 6 ans). Simple, logique, cohérent.
Pour le petit garçon, les choses sont plus compliquées. Il doit se séparer de sa mère mais zut... c’est aussi vers elle que le pousse son oedipe.
Est-ce que je dois me séparer de maman? Est-ce que je dois m’en rapprocher? Comment faire? Que dois-je faire? Qu’est-ce que vous voulez de moi?
Anxiété. Sentiment de ne pas être adéquat. Sentiment de solitude. Sentiment d'abandon.
Au même moment, le petit garçon reçoit des messages du genre « un grand garçon ne fait pas dans sa culotte, un grand garçon ne fait pas dans son lit ». Il sent une forte pression à «grandir» et à effectuer la séparation. Mais il n'a pas toujours en main les clés pour résoudre son dilemme... La grande question n'est donc pas "to be or not to be" mais «me séparer ou ne pas me séparer», ce qui revient au même. Je peux avoir une identité propre, ce qui est assez angoissant, ou je peux rester en fusion avec ma mère, ce qui est plutôt sécurisant.
La séparation des couches se fait au même moment que la séparation d'avec la mère et les deux démarches sont intimement liées... Et également angoissante.
Je vous laisse continuer le raisonnement...
J’ai connu très intimement deux infantilistes. Dans les deux cas, un incident est survenu vers 7 ans. La vue d'un autre enfant qui recevait une attention particulière lors d'un changement de couche a provoqué un important sentiment d’ENVIE chez les deux.
La couche est devenue, dans leur subconscient, un objet symbolique les ramenant au sentiment de fusion avec la mère, de sécurité et d'acceptation totale.
Subtilité:
Les circonstances particulières dans lesquelles s'est déroulé l'incident pour chacun d'eux a eu des conséquences très importantes. Pour l'un, l'univers des couches comporte son lot de honte et de frustration alors que l'autre n'y trouve que plaisir et contentement.
L’attirance pour les couches (avec toute la gamme de sentiments qu’elles peuvent procurer) est imprégnée de façon indélébile dans le subconscient des AB/DL. C’est comme une empreinte dans le ciment. Alors, à quoi bon faire de longue recherche sur la « cause »? Vous essayez de faire un diagnostique? Votre objectif est de « guérir »? Oubliez ça, c’est utopique!
Concentrez vos efforts sur « vivre avec les couches le mieux possible ». L’objectif est de développer des stratégies pour que la passion des couches interfère le moins possible avec ce qu’on pourrait appeler une vie « normale » et des relations « normales ». En précisant bien sûr que la normalité est un concept très discutable!
Et cessez de rechercher l'acceptation à tout prix.
Comme si notre paix intérieure pouvait venir des autres!
L'important n'est pas que les autres nous acceptent mais que nous-mêmes puissions vivre en paix avec ce que nous sommes. Ça pourrait empêcher bien des dérives.
Ce qu'il y a à comprendre d'essentiel dans l'univers des couches, c'est que c'est HUMAIN.
aditou :wink:
il y a 19 ans
Je trouve tout a fait normal qu'un grand nombre de personne critique cette communauté des abdl. Ne serais ce qu'en voyant ce site. Tout simplement parsque ce site donne une image négative.
Un ab c'est quoi :quelqu'un qui aime faire le bébé.
Un dl: quelqu'un qui aime bien les couches.
Ca se résume juste à ça.
Le problème c'est qu'un grand nombre de personnes parle de sexe, envoi des photos X...
Pour ma part je suis ab. Je trouve nul de parler de sexe a un ab puisque finalement dans sa tete il veut rester un bébé.
D'autres sites comme tbkingdom.com voit abkingdom.com de la meme maniere que moi alors qu'ils font aussi parti de cette communauté des abdl.
Pour avancer, et se faire accepter, il faut bien marquer la difference entre les abdl et les pervers, le SM et tous les autres truc en rapport avec le sexe.
Voila mon avis, en espérant faire réagir...
Un ab c'est quoi :quelqu'un qui aime faire le bébé.
Un dl: quelqu'un qui aime bien les couches.
Ca se résume juste à ça.
Le problème c'est qu'un grand nombre de personnes parle de sexe, envoi des photos X...
Pour ma part je suis ab. Je trouve nul de parler de sexe a un ab puisque finalement dans sa tete il veut rester un bébé.
D'autres sites comme tbkingdom.com voit abkingdom.com de la meme maniere que moi alors qu'ils font aussi parti de cette communauté des abdl.
Pour avancer, et se faire accepter, il faut bien marquer la difference entre les abdl et les pervers, le SM et tous les autres truc en rapport avec le sexe.
Voila mon avis, en espérant faire réagir...
il y a 19 ans
bonjour h,
tu as raison jusqu'à un certain point: ! tu met tout le monde dans le meme panier alors qu'il y en a ki ne parle pas de cul ou n'envoi pas de photo X.
Il n'y a pas que des AB ou DL sur le site! il y en a comme moi qui portent des couches par necessité.
Effectivement , notre communauté souffre des betises des autres , mais on y peut rien !
cordialement
shoko
tu as raison jusqu'à un certain point: ! tu met tout le monde dans le meme panier alors qu'il y en a ki ne parle pas de cul ou n'envoi pas de photo X.
Il n'y a pas que des AB ou DL sur le site! il y en a comme moi qui portent des couches par necessité.
Effectivement , notre communauté souffre des betises des autres , mais on y peut rien !
cordialement
shoko
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Nils
Aujourd'hui, un provider peut supprimer de son propre chef votre site s'il estime qu'il porte atteinte à la loi. C'est lui qui interprète cette loi, et peut faire valoir une possibilité d'atteinte aux bonnes moeurs ou de d'atteinte à l'ordre public pour vous zagguer.
Votre seul recours est un dépôt de plainte au civil pour rupture de contrat abusif. Avec avocat, etc...
A l'heure où on utilise le terrorisme et quelques affaires de pédophilie bien isolée pour justifier une telle atteinte aux libertés, peu de gens s'en étonne, et il suffit de regarder le film de Mikael Moore pour comprendre combien il est facile aujourd'hui de manipuler les foules.
ABKingdom est un bijou qu'il nous faut préserver. Son succès est important ; il est aussi le lien de rencontre de bcp de AB/DL. Sans ABKingdom, il y aurait des gens isolés, seuls, sans contact. En ce sens, ce site rempli un rôle social évident, et je remercie ceux qui ont conçu ce site, et qui lui permette de vivre.
La communauté des AB/DL d'ici regroupe en grs 10.000 personnes. Cela peut avoir un poids (lobby) comme cela se fait aux U.S.A. pour sauvegarder le droit d'être ce que l'on est.
Je pense surtout que les responsables de ABKindom doivent se poser la question du mirroring au Québec, état qui permet une liberté de parole sans aucune (pour le moment) restriction.
Bon courage et bravo encore !