Les couches, tout le monde connait ?

Les mamans bossent dur avec leurs enfants, on trouve sur un site dédié à la santé un petit topo faisant le point sur les couches et leur évolution. L'historique est intéressant et les chiffres plutôt inattendus... Imaginez que l'on puisse en porter depuis sa naissance jusqu'à l'âge de 60 ans, cela ferait approximativement 144 000 couches ! A vous de faire le calcul si vous continuez à porter des couches tous les jours ;)

'A deux ans et demi, Rosalie a déjà passé plus de 20 000 heures dans des couches. De mon coté, j'ai changé pas loin de 6 000 couches depuis sa naissance. Je n'arrive pas à imaginer qu'il y a à peine une quarantaine d'années, les bébés étaient emmaillotés dans des couches de coton que l'on attachait avec de grosses épingles, roses ou bleues, selon le sexe du bébé. Ces couches là, on devait les faire tremper, puis les laver à la main dans la machine à tordeurs et on terminait l'opération en les épinglant fièrement sur la corde à linge pour les faire sécher.

Les premières couches qui apparurent sur le marché, au début des années soixante, se vendaient à la pharmacie ou elles côtoyaient les analgésiques ou encore les rouleaux de papier hygiénique. Elles étaient alors composées d'une bande de tissu absorbante qu'on jetait à la toilette et d'une culotte de plastique qu'on réutilisait. Bien que ce produit était révolutionnaire, on ne l'utilisait que pour les occasions spéciales comme les voyages.

Avec le temps, le design et les qualités absorbantes des couches se sont considérablement améliorées de façon à offrir plus de confort aux bébés et à faciliter la tâche des parents. Ainsi, les attaches autocollantes sont apparues, la pulpe de bois a été remplacée par des granules gélatineuses, plus absorbantes, et des bandes élastiques ont été ajoutées autour des cuisses pour éliminer les fâcheuses fuites. C'est au petit matin que j'apprécie le plus toutes ces innovations qui m'auront permis de passer une nuit calme et de retrouver ma petite Rosalie bien au sec dans son lit, avec son attendrissant sourire.

Maintenant, c'est avec ses culottes d'entraînement, beaucoup plus discrètes, que Rosalie entreprend avec enthousiasme son apprentissage à la propreté. Les petits accidents durant le dodo sont rapidement oubliés lorsque, tout fièrement, elle enlève elle-meme sa culotte. Quant à moi, j'ai décidé de me débarrasser de ma table à langer. Ça vous intéresse ?'


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